Quand on écrit, il faut penser au martyre du lecteur et du traducteur. C'est en songeant à ce dernier surtout que l'écrivain devrait faire n'importe quel sacrifice pour être net et compréhensible.
Emil Cioran, Cahiers 1957-1972, Éditions Gallimard, 1997, p. 644.
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